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Webinaire – Vers une économie bleue durable dans l’UE : enjeux et perspectives à l’aune de la PFUE 2022

Par 11 avril 2022avril 22nd, 2022Pas de commentaire

Depuis décembre 2019, l’UE s’est engagée à travers son « Pacte vert pour l’Europe » (ou « Green Deal ») à une politique européenne qui ambitionne de replacer l’environnement au cœur de ses actions, avec un objectif de neutralité climatique à l’horizon 2050. Pour y parvenir, un ensemble de mesures touchant à une variété de secteurs économiques ont été proposées ces derniers mois par la Commission européenne. Le secteur maritime est à cet égard important à considérer parce qu’il est à la fois vital pour la croissance de l’économie européenne, mais aussi source de pollutions pour le milieu marin.

Dans ce contexte, la table ronde du 11 avril 2022 vise à porter un éclairage sur le volet bleu du Pacte vert, en s’interrogeant sur les ambitions et l’agenda de la Commission européenne ainsi que sur les moyens et conditions pour tendre vers une « économie bleue durable ». Nous discuterons, en présence d’invités issus d’autorités publiques et du monde académique, de la réalisation d’objectifs majeurs tels que la neutralité climatique, la mise en œuvre d’une économie circulaire, ou encore la protection de la biodiversité marine, tout en soulignant les attentes et ambitions de la France qui préside actuellement le Conseil de l’UE (PFUE 2022).

Invités :

  • Iglika Yakova, responsable des stratégies de bassin maritime, de la coopération régionale maritime et de la sécurité maritime à la DG MARE, Commission européenne
  • Isabelle PERRET, adjointe au Conseiller Europe et environnement, Secrétariat général de la mer, services du Premier Ministre
  • Patrick Chaumette, professeur émérite spécialisé en droit maritime français et européen
  • Odile Delfour-Samama, maître de conférences spécialisée en droit international de l’environnement marin
  • Anaïd Panossian, docteur en droit spécialisée en droit des pêches, consultante pour l’Agence européenne de contrôle des pêches, la Commission européenne et l’association CAPE